Allégories pour la fin des temps
Certains jours de fatigue, la colère se transforme en tristesse et l’imagination fuit du présent, plus loin que tout futur trop proche. Elle rêve alors sans nous, sans orgueil ni arrogance, d’un monde où les loups joueraient dans nos ruines.
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Les Allégories pour la fin des temps mettent en scène des animaux qui s’en prennent aux ruines du monde humain et se moquent de nos frasques. Réactions immédiates immédiate à l’absurdité des événements politiques et environnementaux récents, ces images furent pour moi des visions consolatrices d’un monde où l’humain et sa force de destruction, auraient disparu. Dans la tradition des vanités, elles offrent un jeu autour les symboles du privilège ontologique auto-accordés des humains (le langage, la technologie, les outils, etc.).
Huile sur papier, 22x30 pouces.
